Elle fait bouger les lignes du capital-investissement. Laurence Bouttier dévoile les secrets de sa réussite.
« Pour nous adapter à nos interlocuteurs, nos équipes devraient être plus mixtes. Mais le capital-investissement attire encore trop peu de femmes comparé aux secteurs du M&A ou du droit des affaires », déplore Laurence Bouttier. Diplômée de l’Edhec, elle choisit la voie du private equity après quatre ans chez KPMG Corporate Finance. Recrutée par ING Parcom en 2003 – qui deviendra Parquest en 2014 –, Laurence Bouttier constate toujours dix ans plus tard la faible proportion de femmes dans ce secteur. « Dans de petites équipes, les seuls éléments complexes à gérer en tant que femme sont les congés maternité », témoigne cette mère de trois enfants qui n’a pas rencontré de frein lié à ce statut dans son évolution professionnelle.



Le parfum des inégalités entre hommes et femmes flotte toujours dans le monde du capital-investissement. La rédaction a mené l'enquête. 

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